L’autodestruction d’une puissante famille d’industriels allemands, gangrénée par le nazisme et la lutte interne pour le pouvoir. Une fresque historique à la démesure wagnérienne, où Luchino Visconti traque la folie et le fascisme au cœur même de ses personnages.

Pour son premier long métrage, produit en collaboration avec Dreamworks, le studio Aardman trousse un savoureux pastiche de La grande évasion où des poules promises aux abattoirs élaborent un audacieux plan de fuite. Leurs systèmes D inspirent autant d’humour que d’ingéniosité aux artistes du studio. 

Le cinéma de la noirceur, du nihilisme, de l’irrespirable : un SDF misanthrope, déclarant à sa manière une guerre brute à la société - en un tableau au vitriol du dégoût de soi.

Un noble amoureux se joint à une troupe de comédiens ambulants pour suivre sa bien-aimée, et devra vaincre un rival sans scrupule, dans une des premières versions (spectaculaire à souhait) de ce célèbre et populaire récit.

Un jeune juge ambitieux est confronté à une affaire trouble dans laquelle la femme d’un de ses amis est accusée de meurtre. Il se retrouve alors entraîné à son insu dans les dédales secrets du pouvoir, de l’argent et du sexe. Dans le creux de la vague, William Friedkin, adulé pour ses films des années 1970, accepte de tourner une copie de Liaison fatale, qu’il sauve par une réalisation efficace.